mercredi 31 juillet 2013

FANAMBARANA : « Manameloka ny fisamborana tsy ara-drariny hatao an’Atoa Fanomeza RAZANADIMBY ny GTT Iraisampirenena-Genève »

Malagasy Mandresy, Madagasikara Afaka
Peuple Malagasy Gagnant. Madagasikara Libre

Winner Malagasy People. Free Madagasikara

FANAMBARANA

« Manameloka ny fisamborana tsy ara-drariny hatao an’Atoa Fanomeza RAZANADIMBY ny GTT Iraisampirenena-Genève »


Ny GTT IRAISAMPIRENENA GENEVE (GTT International-Genève) dia manao izao fanambarana sy antso manaraka izao mikasika ny zava-manjo an’Atoa Fanomeza RAZANADIMBY amin’izao fotoana izao.

Antsojay, fampihorohorona ary fanenjehana no atao an’ity mpiandraikitra ny fiarovana ny kandidà Lalao Ravalomanana ity sy ny fianakaviany ankehitriny, ary nivoaka mihitsy ny didy milaza ny fisamborana (mandat d’arrêt) azy amin’ny fomba rehetra.

Mazava amin’izany fa anisan’ny fomba maloto hanozongozonana sy hanerena an-dRtoa Lalao Ravalomanana tsy hanohy ny làlana amin’ny maha-kandidà azy izao fanenjehana sy fanilihana ireo manodidina azy izao. Tsiahivina mantsy fa efa niharan’ny antsojay toy izao koa i Jean-Marc Koumba, izay mpiara-miasa akaiky koa tamin’Atoa Fanomeza Razanadimby.

Tsy azo ekena ny trangan-javatra toy izao satria fanosihosena ankitsirano ny zon’olombelona sady koa fampanginana sy fanilihana ireo  « mpanelingelina ». Inona marina no fonosin’ny raharaha toy izao ?

Manameloka tanteraka izao zavatra izao ny GTT IRAISAMPIRENENA GENEVE, toy ny fanamelohany ihany koa ireo fisamborana tsy ara-drariny rehetra sy ny fanakanana ny tera-tany malagasy manan-jo feno tsy himpody an-Tanindrazana na hilatsaka ho fidiana.

Fitoniana no ilaina ahatongavana amin’ny vaha-olana ho an’ny Firenena fa tsy herim-pamoretana sy fampihorohorona toy izao. Efa izany foana no niainan’ny Malagasy nandritra ny 4 taona mahery.

Noho izany, dia mangataka manokana an-dRtoa Lalao RAVALOMANANA izahay mba hanao fanambarana amin'izao raharaha mampalahelo mianjady amin'Atoa Fanomeza izao.

Angatahana maika ihany koa:
  • Ny KMNR (Komity Mampandresy an'i Neny Ravalomanana), mba hilaza mazava ny misy an-dry zareo koa eo amin’izao toe-javatra izao.
  • Ny komity mpitarika ny antoko ZANAK'I DADA, izay tsy andrenesam-peo tanteraka, mba hanohitra marindrano izao teti-dratsy izao,
  • Ny mpitarika ny ankolafy Ravalomanana, solontenan'ny mpitolona tan-dalàna rehetra, mba hijoro sy hitolona marina.
Sao lahy toy ireo mpiray tsikombakomba ka mialoka ao ambadiky ny “tsy miloa-bava”.

Koa manantena anareo mba hanampy mavitrika sy hanohana ny namanareo, sady mpiara miasa (fa tsy fahavalo) Atoa Fanomeza RAZANADIMBY.

Genève, 30 jolay 2013


GTT IRAISAMPIRENENA – GENEVE
GTT International – Genève
15, rue des savoises
1200 – Genève (CH)


dimanche 28 juillet 2013

GTT International-Genève sur Radio RFT Toamasina - Vendredi 26/07/2013

D. Ranarison a été l'invité de RFT Toamasina dans l'émission "Tsy very Tadidy" du 26/07/2013, à 18h30. Animatrice et productrice : Mme Jeanine Rakotoniriana.
"La solution à la crise appartient aux Malagasy eux-mêmes"

Fandaharana Tsy very tadidy -26-07-13


mercredi 24 juillet 2013

Malagasy Mandresy, Madagasikara Afaka
Peuple Malagasy Gagnant. Madagasikara Libre
Winner Malagasy People. Free Madagasikara

MADAGASCAR

Réponse du GTT INTERNATIONAL GENEVE aux recommandations du GIC-M :
« C’est un complot mené contre la souveraineté nationale »


Nous ne pouvons rester insensibles aux recommandations du GIC-M à l’issue de sa mission consultative du 9 au 13 juillet dernier selon lesquelles il a établi un Plan d’intervention qui s’articule autour de 7 points pour sortir de l’impasse actuelle.
  1. Nous avons dénoncé maintes fois le caractère partial de la CES dès sa création. Il est donc logique que nous soutenons sa recomposition, mais sans remettre en question les décisions déjà rendues, en l’occurrence la candidature validée de Mme Lalao Ravalomanana. Toutefois, avec la décision du gouvernement d’intégrer au sein de l’institution tous les signataires de la Feuille de Route, portant les membres au nombre de 21 au lieu de 9, force est de constater que rien ne change sur le fond. Pratiquement toutes les entités qui ont signé la Feuille de Route à Ivato sont pro-Rajoelina. Peut-on parler d’indépendance et de crédibilité dans ces conditions ? Ce n’est donc qu’un leurre qui est toujours au détriment de notre candidate Lalao Ravalomanana.
  2. En demandant au pouvoir de fait d’annuler par voie d’ordonnance une décision officielle (celle rendue par la CES validant la candidature de Mme Ravalomanana),  vous cherchez, à travers un tel tripatouillage, à donner un habillage juridique à votre volonté d’éliminer Mme Lalao Ravalomanana.
  3. Toutes les autres institutions de la Transition présentent également un caractère unilatéral et partisan et perdent ainsi toute crédibilité. Il faut les assainir comme le recommande les résolutions de la FFKM.
  4. Les menaces de sanctions ET ULTIMATUM  sont  inacceptables et scandaleux. Il s’agit d’ingérence grave et du mépris pour les malagasy. Rajoelina, l’auteur du coup d’état, un acte criminel contre la démocratie n’a jamais été sanctionné alors que Madame Ravalomanana dont le seul tort est de se porter candidate se voit menacée de sanctions. Aucune sanction non plus ne lui a été infligée alors qu’il n’a cessé de violer la FDR.
  5. Concernant les 109 sanctionnés : l’attitude complaisante de la Communauté Internationale est affligeante. Aucune sanction décidée à Maputo en 2009 n’a été appliquée bien que la majorité des personnes concernées baignent dans la corruption et le pillage du patrimoine national depuis 4 ans. Nous rappelons que 10 candidats à la présidentielle font partie de la liste des personnes sanctionnées par l'UA. A travers votre décision, vous favorisez l’impunité et de fait vous vous rendez complices des putschistes.
  6. Au lieu d’apporter l’apaisement nécessaire à des élections acceptées par tous, votre démarche risque au contraire de prolonger la crise politique.
  7. S’agissant de la médiation de la FFKM : J. Chissano avait avoué ne rien connaître de cette démarche. Et maintenant, il la soutient, tant mieux mais il faut des actes, un soutien actif notamment pour la réalisation du Sommet des 4 qui, d’ailleurs, entre parfaitement dans le cadre de la Feuille de Route dans son art 20. La réconciliation nécessite et la présence de Marc Ravalomanana et l’acceptation de la candidature de Mme Lalao Ravalomanana.
  8. Cessez de :
·         Considérer les Malagasy comme des irresponsables,
·         outrepasser votre mission de médiation,
·         dicter votre choix aux Malagasy avec vos méthodes staliniennes,
·         privilégier l’intérêt particulier d’une puissance étrangère, en l’occurrence la France, au détriment de celui des 22 millions de Malagasy.
  1. Arrêtez votre manœuvre flagrante pour éliminer radicalement la famille Ravalomanana. Vous avez réussi à faire passer le Ni-NI et maintenant vous voulez encore la peau de la candidate Mme Lalao Ravalomanana. Doit-on rappeler le harcèlement de la famille allant jusqu’à accuser et violer la sphère privée de Mme Lalao Ravalomanana (visite de « contrôle » de sa mère souffrante).
La médiation est biaisée avec les mensonges et la falsification de la réalité de la part des médiateurs. Les invitations des chefs de la médiation de la SADC par le gouvernement français, la visite actuelle de Rajoelina en Tanzanie (celui qui est soit disant sanctionné par la CI) en disent long du complot mené contre la souveraineté nationale malagasy.
Au lieu de débloquer la situation, vous semez au contraire le chaos : « le remède que vous apportez est pire que le mal ».

Genève, le 24 juillet 2013


GTT INTERNATIONAL GENEVE
Collectif des Patriotes Malagasy
15, rue des Savoises
1205 GENEVE - SUISSE



Destinataires :
SADC
UA
ONU
UE

Représentations diplomatiques à Madagascar

MAMY RAKOTOARIVELO: LA COLLABORATION AVEC L’ENNEMI CONTINUE .



Mamy Rakotoarivelo, fait l'objet d'attaques virulentes en ce moment, et cela venant des sympathisants de la Mouvance Marc Ravalomanana elle-même. On lui reproche notamment une mauvaise gestion politique, certains n'hésitent pas à parler d'incompétence d'ordre "tactique" au sein de la Transition. Puis, sentiment personnel bien légitime par ailleurs, sa préoccupation obsessionnelle à vouloir devenir Président de la République, et cela au détriment d'un travail qu'on attendait de lui, celui d'un opposant qui se bat réellement pour le retour de l'ordre constitutionnel et de sa mission première: faire appliquer la Feuille de Route  et surtout le retour du Président Ravalomanana. Fiasco sur toute la ligne, d'où la grogne des légalistes.

Propriétaire de plusieurs journaux, Midi Madagascar et Ma-Laza entres autres, et d' une chaine de Télévision (MATV), il  a interdit à ses journalistes de faire état des malaises et questionnements "embarrassants" des légalistes quant à sa manière de diriger l'action "patriotique" de la Mouvance Ravalomanana.

Nos amis du Collectif GTT INT GE en ont fait l'amère expérience car  victime de cette censure depuis que ses membres avaient osé demandé officiellement le remplacement de M. Rakotoarivelo comme dirigeant de la Mouvance, et ce pour incapacité et mauvaise appréciation des événements et situations "politiques", selon leur analyse ( Le GTT INTER GE réagit et demande la mise à l'écart de M. Rakotoarivelo. 11 Nov 2011).Sanction immédiate et sans appel, leurs communiqués et Lettres ouvertes ne sont plus relayés par le groupe de Presse de M. Rakotoarivelo depuis cette date.

Autre dirigisme qui s'apparente à une vraie forme de diktat à la méthode stalinienne, mais sournois tout de même: Chaque membre choisi et désigné pour siéger dans les deux Assemblées devrait d'abord signer une Charte de bonne conduite, dénommée "Pacte de discipline". C’est un véritable acte de soumission écrite avant de rejoindre ses pairs d'Anosy et de Tsimbazaza. Ce sont les fameux CT et CST, grassement payés mais "invisibles" au Magro, à part une dizaine, les mêmes têtes de leaders, depuis quatre ans. Aucune critique n'est tolérée, sous peine de sanctions immédiates. Le mutisme et le suivisme comme règles.

Il est donc temps de demander, solennellement à M. Rakotoarivelo, des comptes sur sa présence et ses actions au sein de ce régime de Transition: Qu'a-t-il fait de positif ?

Un rapide état de lieu s’impose, au cas où certains d'entre nous feignent d'oublier :
-          Toujours des prisonniers politiques dans nos prisons,
-          Les stations de télé et de radios, sont toujours fermées,
-          Nos exilés (article 20 de la FDR) sont encore à l'extérieur,
-          Les forces armées, la Gendarmerie et la Police restent "répressives",
-          Aucun signe d'apaisement, ni social ni politique : le chaos règne partout à l'image de la situation dans le Sud, L'Opération militaire Tandroka a fait des centaines de victimes et des milliers de sans abris déplacés,
-          Des populations apeurées, affamées et des milices lourdement armées qui sèment la terreur partout,
-          Nos enfants déscolarisés, avec un fort taux de mortalité car mal nourris et donc faibles,
-          Dans le privé comme dans le public, des hommes et des femmes démunis, désorientés,
-          Un taux de chômage incroyablement élevé face à des nantis qui continuent à s'enrichir illégalement (corruption, vols, racket),
-          Le pillage de nos richesses naturelles qui continuent, etc...
Pour preuve, ce constat alarmant d'une enquête Internationale (L'Afrobaromètre-Mada-2013) effectuée au mois de Mars et avril derniers :
"La population n'a jamais autant souffert. A côté du 1% de privilégiés qui jugent très bonnes leurs conditions de vie, 55% des Malgaches déclarent qu’elles sont soit mauvaises soit très mauvaises. Le recul de 24% à 9% de ceux qui déclarent vivre de façon satisfaisante donne une idée de l'appauvrissement des Malgaches, dont aucune catégorie n'est épargnée (urbains comme ruraux, etc.). A tous les niveaux les pénuries (alimentaires, médicaments, eau potable) touchent un nombre croissant de personnes. A titre d'exemple 70% des Malgaches disent avoir souffert de la faim au cours de l'année (y compris en ville où ils sont maintenant 60%). (Enquête Afrobaromètre, Coef Ressources/Dial, Madagascar, 2005, 2008 et 2013).

Une liste qui n'est évidemment pas exhaustive.

Mrs Rajoelina et Beriziky, comme l'Armée ne sont pas les seuls responsables. Le discrédit  tombe aussi  sur Mamy Rakotoarivelo et ses proches... de par leur étroite collaboration qui dure depuis deux ans avec les putschistes. Citons entre autres faits, et qui ne souffrent d'aucune constatation : L'absence de la Mouvance lors des travaux de la FFKM (ateliers et débats à travers l'île); ou encore la non-participation de représentants légalistes lors des différentes colloques Internationales, spécialement consacrées à Madagascar, pour trouver des solutions rapides, afin de traiter le dossier de Madagascar.   

Quand l'ambition personnelle de notre personnage -celle de devenir Président de la République-  avec ses maladresses, ses calculs et autres manœuvres politiques, entraine le pays vers un désastre économique et humanitaire sans précédent (le dernier des pays le plus pauvre de la planète, selon la Banque Mondiale), c'est tout simplement de l'égocentrisme à l'état brut.  

La feuille de route est sensée être appliquée dans sa totalité pour nous sortir de la crise. Deux ans d'existence et aucun résultat positif jusqu'à maintenant. Que Mamy Rakotoarivelo ait failli à sa mission nous semble évident et pire, il est aussi  responsable de nos malheurs car co-dirigeants du pays en acceptant de participer dans ce Gouvernement de Transition. 

Les membres n'ont jamais voulu se retirer  de la  Transition malgré les nombreuses demandes, dont celle du GTT INT GE (« Nous demandons la démission collective de tous ceux qui ont intégré les institutions de transition », 4 Février 2012).

A force de compromissions, de silences et des "non dits", beaucoup se sont interrogés sur les significations exactes des "sorties mondaines" et administratives que l'on étale quotidiennement dans les média, avec M. Rakotoarivelo comme un "faire valoir". De premier opposant au régime putschiste, il devint très vite le partenaire "le plus sollicité" et "aimé" de ce pouvoir sans foi ni loi.

M. Rakotoarivelo a bien vite oublié qu'il s'assoit à la même table que des criminels, aux côtés des hommes et femmes de Rajoelina, qui sont tous impliqués -qu'il le veuille ou non- dans de nombreuses exactions envers le peuple et le pays. Nous ne citerons que les journées du 26 Janvier 2009 (250 victimes environ dans toute l'île, dont 44 brulés vifs dans un immeuble de la capitale) et du 7 Février 2009 (Une trentaine de victimes). Mais durant ces quatre années, des actes graves ont été commis : disparitions d'opposants, crimes à grande échelle auprès des populations du Sud caractérisés par des incendies de villages et tirs d’armes de guerre à partir d'hélicoptère avec des centaines de victimes; meurtres divers à caractère politique, emprisonnements arbitraires; pillage en règle des richesses naturelles du pays (bois de rose, pierres précieuses, bétail et terres agricoles dans le Sud, etc....). A vouloir travailler main dans la main avec des hommes et femmes de cette trempe, on perd -un peu- de sa dignité M. Rakotoarivelo.

Il n'est pas sans savoir que ces réalités sont connues de tous, et tôt ou tard, il répondra de tout cela devant le peuple. .La confiance accordée fut entamée et à l'heure où nous écrivons le pire est à craindre: se proclamer calife du parti présidentiel, et devenir candidat pour briguer la fonction suprême. Est-ce bien sérieux?

On peut relever dans le même registre de "proximité indigne", la propension à encenser tout ce qui est français. Les autorités françaises s'en flattent, les putschistes s'en réjouissent mais le peuple se méfie de toute cette allégeance qui ne dit pas son nom : le Néo-colonialisme : présence massive de militaires au pays, l'économie de l'île aux mains des grands groupes tels que Orange, Bouygues, Total, Fraise. C'est tout simplement insupportable pour les Malagasy. Mais M. Rakotoarivelo s'en accommode très bien. Trahi par les images, les vidéos et les relais annexes (radios, bouche à oreille), ses comportements ressemblent fortement à des  "relations amicales" mais  inopportunes car au détriment de notre pays qui s'enfonce de jour en jour dans une misère sans nom.

Le GIC-M dirigé par Chissano, comprenait dans la délégation une forte présence française (COI, OIF...) dont les membres, arrogants et sans honte, taxaient Mme Lalao Ravalomanana de "menteuse" concernant l'état de santé de sa mère. Sans débat ni concertation, ils sont venus nous imposer des solutions qui les arrangeaient. Mme Lalao Ravalomanana devrait se retirer de la course sous la menace de sanctions, telle est leur volonté. Des menaces directes, même pas voilées. Qu'ils les exécutent !! Nous sommes Malagasy et propriétaires de nos terres et maitres de notre destin.

Et depuis ce passage "unilatéral et partisan" d'une soi disant diplomatie Internationale, c’est le quotidien Midi Madagascar même qui lance dans les médias des infos au titre triomphant: « Des négociations sont en cours [pour le retrait de la candidature de Mme Lalao Ravalomanana]».(Midi,16 juillet 2013).

On se souvient peu de temps avant la désignation de Mme Lalao Ravalomanana, les propos de M. Rakotoarivelo, étalés dans tous les journaux: "Mme Lalao ne peut pas se présenter car elle ne remplit pas certaines conditions, les 6 mois de résidence au pays, Tojo R. lui aussi ne peut pas se présenter car il n'a que 33 ans. C'est dans la Constitution », disait-il. Lamentable.

La France et Rajoelina se frottent les mains. M. Rakotoarivelo est traité de "collaborateur" puis de "retourneur de veste" par des observateurs de la vie politique. Certains le traitent sans détour de "traitre".

Quels sont ses arguments pour expliquer sa démarche politique aux côtés des criminels et de la politique de l'Hexagone (francafrique), bref comment justifie-t-il sa démarche partisane?

Sans hésiter et tel un leitmotiv: "Le PRM est au courant, je viens de lui parler", ce qui est évidemment sujet à caution. Précisons que le GTT INT GE, lors du passage de M. Rakotoarivelo à Paris, lui a publiquement signifié qu'il n'était pas son seul interlocuteur.

Un climat d'incompréhension, des non-dits, de mensonges se sont installés dans le camp de Ravalomanana. Les discours "convenus", lisses et mous qu'il continue à débiter, lors de ses rares apparitions, nous déroutent et nous lassent prodigieusement.

Siégeant lui même, comme chef du Congrès (CST- sénateurs désignés et non élus)  aux côtés des putschistes, ayant désigné lui même les 5 ministres sur 35 du gouvernement de Transition, il est donc non seulement responsable mais aussi coupable de nos malheurs.

Les élections futures, prétendues comme gage de sortie de crise, en voilà une affirmation que nous réfutons car la vraie solution pour les Malagasy est le retour du Président Ravalomanana, n'en déplaise au clan de Mamy Rakotoarivelo ainsi qu'aux criminels au pouvoir.

Les ennemis du peuple, les 109 sanctionnés en l'occurrence, et dont certains d'entre eux sont candidats aux élections présidentielles, n'auront pas une seule voix de la part des électeurs légalistes, certes, mais les traitres en sont également avertis,

Ils ont trahi le pays et le PRM. Qu'ils le sachent dès maintenant !


Le Mouvement des Citoyens Malagasy de Paris.
Paris le  23 juillet 2013.




samedi 20 juillet 2013

Le GTT International Genève sur RFT Toamasina - Invitée de ce samedi 20/07/2013: Mme Patricia Lehmann

Patricia Lehmann a été l'invitée de l'émission hebdomadaire "Misy Raha la Terre" sur RFT Toamasina (Radio Feon'i Toamasina - 101) ce samedi 20 juillet 2013. Interviewer: Jeannine Rakotoniriana


Patricia Lehmann Radio RFT 20 juillet 2013


samedi 13 juillet 2013

COMMUNIQUE - Jusqu’où ira l’acharnement sur la famille RAVALOMANANA ? Les membres du GIC-M sont-ils devenus des contrôleurs médicaux ?


COMMUNIQUE

Jusqu’où ira l’acharnement sur la famille RAVALOMANANA ?
Les membres du GIC-M sont-ils devenus des contrôleurs médicaux ?

Nous voulons porter à la connaissance des Malagasy ainsi qu'à l’ensemble de la communauté internationale l'attitude cavalière voire choquante de la part des émissaires du GIC à l'égard de la famille RAVALOMANANA, et pour laquelle nous exprimons notre profonde indignation.

Devant la volonté inébranlable de Mme Lalao RAVALOMANANA de rester candidate pour l'élection présidentielle malgré l’insistance du GIC (suivant la décision du 26 juin prise à Addis-Abéba), ce dernier a eu recours à un procédé plus malsain.

En effet, Mr LAMAMRA pointait du doigt Mme Lalao RAVALOMANANA en l'accusant d'avoir menti au sujet de la maladie de sa mère. Selon lui, ce n'est qu'un faux prétexte pour rentrer au pays et faire de la politique ensuite. Ce sont des mots désagréables, et surtout injustes voire blessants à l'égard de notre candidate.

Puis, dépassant tout entendement, la décision a été prise par la délégation conduite par M. CHISSANO d’aller constater de visu l’état de santé réel de la mère de Mme RAVALOMANANA. 
De fait, le GIC est scandaleusement sorti de son rôle. Ses émissaires se sont reconvertis en « contrôleurs médicaux ». Est-ce un aveu d’échec dans leur mission de médiation menée depuis plus de 4 ans ? Il aurait été plus judicieux d’aller rendre visite les prisonniers politiques qui croupissent encore dans les geôles des putschistes. Quel crédit peut-on encore leur accorder ?

En réalité, cet acharnement sans limites mené contre la famille RAVALOMANANA met en lumière le véritable but de la SADC et par extension du GIC, sur les ordres de l’ancienne puissance coloniale : celui d’éliminer politiquement, par tous les moyens, la famille RAVALOMANANA.

Nous restons fermes sur une position qui fait "l'unanimité" auprès des Malagasy : Madame Lalao RAVALOMANANA ne retirera pas sa candidature.

Génève, le 13 juillet 2013


GTT INTERNATIONAL GENEVE
Collectif des Patriotes Malagasy
15, rue des savoises
1205 GENEVE –SUISSE


radio ny feno Toamasina: GTT Toamasina

TSY VERY TADIDY 12-07-13

vendredi 12 juillet 2013

Les indignés de Madagascar: Renier des candidatures est un faux problème

ettre ouverte à Son Excellence, Monsieur Joachim Chissano,

Maintenant quatre ans que le peuple malgache vit dans une situation d’incertitude et de frustration permanente. Ceci à cause d’une crise politique engendré par un acte, dont nous sommes tous d’accord, non démocratique et indigne par rapport à notre millénaire. Quatre ans aussi maintenant que tout le monde, nationaux et internationaux, essaient en vain d’apporter chacun ses contributions pour mettre fin à cette situation et faire revenir le pays sur le chemin de la légalité, de la vraie démocratie et pour redonner à Madagascar sa place, comme il se doit, dans les rangs de la Communauté Internationale, malheureusement force est de constater que toutes tentatives ont été vaines, et cela pour de nombreuses raisons et circonstances.

Tout au début de cette crise la Communauté de Développement de l’Afrique Australe (SADC) s’est proposé en médiateur, et en représentant officiel et unique du Groupement International de Contact (GIC) pour s’occuper du dossier Madagascar à tous les niveaux. Les différentes concertations, négociations et interpellations ont conduit à un accord commun de tous les intervenants et toutes les parties, qui se sentaient ou que l’on estimait, concernées par cette situation.

Ainsi la SADC a accepté, avec la partie malagasy et la Communauté Internationale, dans son ensemble, de mettre en place un document cadre, qui est la « Feuille de Route de sortie de crise » pour Madagascar. Ce Document dans sont contenu regroupe toutes les conditions techniques, juridiques, politiques que tout le monde estimait pouvant conduire à la seule issue à la crise que sont les élections. Des élections libres, crédibles, démocratiques et surtout ACCEPTEES PAR TOUS. Nous entendons bien sûr PAR TOUS ici toutes les parties prenantes malgaches et par la partie Internationale.

Afin de donner une valeur de document cadre officiel à cette FDR, il a été recommandé de la transcrire en loi, pour donner à tous les points cités dedans des valeurs juridiques, dont l’application deviendrait, par la suite, impérative.

En concertation et accord commun avec la Communauté Internationale, notamment l’Organisation des Nations Unies, la voie vers les élections a été tracée. Les étapes et les calendriers pour chaque type d’élection ont été établis, tous les organes et qui devraient s’occuper et de l’organisation et du suivi, et de l’arbitrage de toutes les élections ont été mis en place. Les processus de préparations ont été enclenchés.

Toujours par le biais de cette Feuille de Route pour la sortie de crise malagasy, une Juridiction Spéciale, à savoir la CES, la Cour Electorale Spéciale que toutes les parties prenantes ont estimé, à juste titre, indépendante dans la mesure où celle-ci est composée exclusivement de magistrats malagasy de premier grade élus par leurs pairs.

Cette Juridiction indépendante a pris une décision d’autoriser 41 candidats à se présenter aux élections présidentielles censées se tenir courant ce mois juillet 2013 (en vertu de la Feuille de Route toujours) par une décision de Justice ayant reçu « l’autorité de la Chose Jugée » car non susceptible de recours (selon toujours cette Feuille de Route), donc devenue définitive.

Cependant, grande et amère fut notre surprise en constatant que la même Communauté Internationale qui a donné son accord pour la mise en place et le lancement du processus de préparation vers des élections libres, crédibles, et acceptées par tous, actuellement porte tout son effort à stopper, voire même empêcher ce processus d’aboutir et ce pour un FAUX PROBLEME. Oui nous estimons que le cas d’illégalité, soulevé actuellement, de la candidature de certains candidats, à citer Sieurs Andry Nirina RAJOELINA, Didier Ignace RATSIRAKA et Madame Lalao RAVALOMANANA RAKOTONIRAINY, est un faux problème dans l’état actuelle de la situation. Car il est force est de constater que jusqu’à présent, la feuille de route n’a jamais reçu d’application intégrale de tous les articles y figurant, notamment les articles 17, 18, 19 et surtout 20.

En agissant ainsi la Communauté Internationale, par le biais du GIC-Madagascar dont vous représentez dans votre actuelle mission, sanctionne LE PEUPLE MALGACHE et non les hors la loi qui ont pris de façon antidémocratique à ce peuple son droit et son pouvoir. En agissant ainsi la Communauté Internationale enlève à ce peuple, qui est épuisé et fatigué et qui n’aspire qu’à une chose : en finir définitivement avec cette crise, tout espoir de retour à une vie normale, tout espoir de retrouver enfin sa dignité, tout espoir de faire valoir enfin son vrai droit et la vraie souveraineté de son pays.

Nous estimons que si sanction devait avoir lieu, c’est tout au début de la crise que la Communauté Internationale devait se montrer intransigeant et ferme envers ceux qui ont mis notre Pays dans cette situation d’impasse. C’est au tout début de la crise que la Communauté Internationale devait appliquer à la lettre toutes les conventions démocratiques et humanitaires qui régissent cette dite Communauté dont faisait et fait partie Madagascar.

Nous nous sentons Indignés et outrés par le non respect de la loi, le non respect des droits fondamentaux de l’être humain et le non respect des droits fondamentaux d’un citoyen digne de ce nom et bénéficiant pleinement son droit dans sont pays nous, ainsi nous nous adressons à vous en toute humilité et avec tout le respect que l’on vous doit pour exprimer NOTRE INDIGNATION et vous faire part de notre souhait le plus cher en tant que citoyens responsables.

Nous sommes « indignés » Excellence, de constater que la SADC a outrepassé ses missions de Bons Offices. Pire, nous estimons qu’elle a foulé aux pieds un des principes fondamentaux de l’ONU à savoir : « la non immixtion dans les affaires internes d’un pays ».

Nous sommes d’autant plus « indignés » en constatant que la SADC est devenue, en agissant ainsi, un instrument de certaines puissances étrangères qui veulent faire main basse sur nos ressources naturelles pour exercer un chantage ignoble, non seulement aux trois candidats que l’on voudrait sanctionner pour des fautes hypothétiques qu’ils auraient commises, mais surtout à l’égard du peuple malagasy qui ne demande qu’à vivre en paix en finissant , une fois pour toute, avec cette crise interminable.

Pour la dignité du peuple malagasy et du peuple africain en général, et aussi pour la stabilité dans cette partie australe de notre Continent, « engagez-vous » Excellence, à exercer comme il faut votre mission de Médiation en laissant tous ces 41 candidats se présenter aux futures élections présidentielles et laisser le peuple malagasy (par l’intermédiaire de son électorat) exercer « souverainement » cette noble tâche de prendre la décision finale d’écarter ceux qu’il estime « indignes » d’exercer la magistrature suprême à Madagascar par une élection juste, honnête et

équitable sous l’égide de la SADC (que vous représentez) et de la Communauté Internationale dans son ensemble (qui a porté sa confiance en vous de jouer le rôle de Monsieur Bons Offices dans notre pays pour mettre fin à cette crise) .

Telle est Excellence, nous osons estimer, la véritable démocratie à laquelle que les gens de bonne volonté doivent tous aspirer. Nous vous remercions de votre attention.

lundi 8 juillet 2013

Appel du GTT International-Genève « Tous derrière la FFKM pour contrer Rajoelina et consorts»

Malagasy Mandresy, Madagasikara Afaka
Peuple Malagasy Gagnant. Madagasikara Libre
Winner Malagasy People. Free Madagasikara

Appel du GTT International-Genève
 « Tous derrière la FFKM pour contrer Rajoelina et consorts»

D’abord, nous voulons exprimer notre profonde indignation face à la voyoucratie de la HAT d’empêcher, ce 3 juillet 2013, le retour du Président Ravalomanana à Madagascar, alors qu’il était attendu pour participer à la Rencontre au Sommet dans le cadre du processus de sortie de crise patronnée par la FFKM.
Nous rappelons que le dialogue malgacho-malagasy  et le retour sans conditions du Président Ravalomanana font partie intégrante de la mise en œuvre de la Feuille de Route, et ont obtenu le plein soutien de la SADC, exprimé par le Président de la Tanzanie. Ce troisième empêchement dont est victime le Président  démontre la volonté manifeste de Andry Rajoelina de défier la Communauté Internationale. L’article 20 de la feuille de route vient une nouvelle fois d’être foulé aux pieds par les autorités de fait.
L’interdiction d’embarquer, qui prend la forme d’un  mail aux propos menaçants et intimidants (1), est adressée à la compagnie aérienne sud-africaine AirLink par le Directeur Général de l’Aviation Civile de Madagascar, Robert Jean Razafy, un proche des tenants du pouvoir actuel.
Recourir à des méthodes aussi abjectes, constitue la preuve de la détermination de cette bande  à refuser toute recherche de solution pour mettre fin à la grave crise qui tue les Malagasy à petit feu depuis 4 ans, et toute la communauté, nationale comme internationale, en est témoin.
Aussi, nous demandons:
·         à la SADC :
ü  de prendre une sanction individuelle, telle que prévue par l’article 39 de la Feuille de Route (2), à l'encontre de Robert Jean Razafy en tant que facteur de blocage pour avoir gravement violé l'article 20 de la dite Feuille de Route,
ü  de conjuguer les efforts pour un retour rapide à l'ordre constitutionnel en facilitant la rencontre malgacho-malagasy et d'assurer la sécurisation des parties prenantes,
ü  de garantir le respect des droits civiques et politiques de tous les Malagasy sans exception à participer aux élections comme l’ont affirmé clairement les USA, un Etat membre du GIC-M à l’occasion du 237ème  anniversaire de leur indépendance (3).
·         à toutes les parties prenantes au processus de faire bloc derrière la FFKM afin de contrer la mauvaise intention de Rajoelina de saboter en permanence toute démarche positive de recherche de solution,
·         à la FFKM, dont nous nous félicitons de sa volonté de poursuivre la médiation, d’user pleinement de son incontestable autorité morale pour exiger des différentes parties concernées la mise en œuvre de tous les moyens nécessaires au retour sécurisé du Président Ravalomanana, et de s'en tenir strictement à l'application des résolutions issues des nombreuses rencontres qui se sont tenues à travers l'île.
·         à l’armée de rejoindre les casernes et de ne plus s’immiscer dans la politique si elle n’est pas capable de faire preuve d’un sursaut patriotique dans les moments aussi difficiles pour le pays. Leur implication dans la vie de la nation, telle que prévue par la Constitution, est celle de protéger la vie et les biens des citoyens malagasy et non l'inverse (une armée répressive). C'est le gage d'un retour à l'ordre et à la justice pour Madagascar.
Par ailleurs, conformément à la ligne que nous avons toujours défendue, nous réitérons notre soutien au processus de médiation initiée par la FFKM qui permet, à nos yeux, d'asseoir une solution réellement consensuelle et inclusive. Et la présence à Madagascar du Président Ravalomanana est une exigence prioritaire pour la poursuite du processus sinon, il ne peut y avoir de réconciliation. Rappelons que la mise en place d’un contexte apaisé est un préalable à des élections  transparentes, démocratiques et acceptées par tous.
Nous exhortons enfin nos compatriotes légalistes, épris de justice, à prendre urgemment en main la destinée de notre Patrie qui se trouve dans une misère indicible.

Genève, le 08 juin 2013

GTT INTERNATIONAL – Collectif de la Diaspora
15, rue des Savoises
Genève – SUISSE


NOTES:

(1) Mail du DG de l’ACM adressé à la compagnie AIRLINK
From: Robert Jean RAZAFY [mailto:robert_razafy@yahoo.com] 
Sent: 02 July 2013 10:57 PM
To: sandilec@flyairlink.com
Subject: flight SA8252
Dear Sir,
Former head of State Marc Ravalomanana’s presence on your July 3th 2013 flight number SA8252 has triggered spot seeds of discords and potential violence judged beyond acceptable tolerance by the authorities in charge of public safety and material security.
It is therefore my duty to alert you of the serious and present danger that passengers of your flight are exposed to, as well as the undue threats to your aircraft and our airport facilities.
I hereby urge you to take all due measures to avoid any life threatening unrest and destruction that would occur.
Kindest Regards
RAZAFY Robert Jean
Director general
Aviation Civile de Madagascar


Cher monsieur
La présence de l’ancien président Marc Ravalomanana à bord de votre vol numéro SA8252 du 3 juillet 2013 suscite l’embrasement de foyers latents de discordes et de violences évaluées à un degré hors contrôle pour les autorités de l’Etat chargées de la sécurité publique.
En conséquence, j’estime de mon devoir de vous alerter du grave danger auquel sont exposés tous les passagers de ce vol, des risques de destructions de votre aéronef et de nos installations aéroportuaires.
Je vous demanderai instamment de bien vouloir prendre les dispositions nécessaires afin d’éviter les dommages funestes qui peuvent survenir.  
Cordialement,
RAZAFY Robert Jean
Directeur Général
Aviation Civile de Madagascar


(2) Extrait de la Feuille de Route (article 39)
« En cas de graves violations de cette Feuille de Route, les Partenaires examineront la possibilité́ de prendre des sanctions contre les auteurs de ces violations, qu'ils soient ou non signataires de la présente Feuille de Route »

(3) Extrait du discours de M. Eric Wong, Chargé d’affaires US lors de l’Independance Day – 3 juillet 2013 

« …les Etats-Unis ne vont pas juger d’avance une quelconque élection. Nous soutenons le droit du peuple Malagasy de choisir leurs dirigeants dans le cadre d’une élection libre, juste et crédible ; et nous soutenons les efforts de la SADC destinés à trouver une issue crédible et inclusive à la crise politique à Madagascar… »

Le GTT INTERNATIONAL, collectif de la diaspora malagasy, dont le siège est à Genève (CH), poursuit un double objectif: la restauration de l'Etat de droit et le rétablissement de la Démocratie à Madagascar. Il prône et oeuvre pour la liberté d'expression, la prise de conscience citoyenne et la mise en place d'une vraie démocratie dont l'exigence première est la tenue d'un processus électoral inclusif, libre et transparent ".