Intervenant en direct au Kianjan’ny Finoana Behoririka le 17 juillet, le Président Marc Ravalomanana a interpellé les journalistes de « bien recouper les informations et de ne divulguer que les nouvelles sûres ». Selon Ravalomanana « certains médias prennent plaisir à faire une désinformation, rien que pour semer le trouble au sein de l’opinion publique ». Il invite alors ses partisans à « ne pas déserter Magro, afin d’échanger les vraies nouvelles. La manifestation quotidienne de Magro est la source privilégiée d’infos pour les légalistes, privés d'autres canaux de communication censurés par la HAT».
En Ouganda
A partir du 25 Juillet prochain se tiendra à Kampala-Ouganda le sommet de l’union africaine. Ravalomanana a déjà reçu son carton d’invitation et est en train de préparer minutieusement les dossiers se rapportant au cas de Madagascar. « L’union africaine est soucieuse du cas de notre pays, ces membres aspirent à un rapide retour à l’ordre constitutionnel » annonce le président Ravalomanana « ils ne cessent de se concerter afin que le pays sorte de ce tunnel ».
Conférence nationale
Pour ce qui est de la conférence nationale, le chef de la mouvance Ravalomanana réitère les différentes déclarations émises par les trois mouvances. « Il faudrait la participation effective de tout un chacun. Toute opération doit refléter l’esprit d’unité nationale, donc inclusive et consensuelle »confirme-t-il. La communauté internationale ne donnera sa bénédiction qu’avec ces conditions, pourtant « ce genre de dialogue réclame un financement énorme » fait-il savoir. « Disposer de la reconnaissance internationale nous sera d’une grande aide car la crise socio-économique commence à peser ».
Aucun respect des droits humains
Et c’est le président lui-même qui le révèle « une rencontre avec la délégation de l’assemblée paritaire ACP-UE a eu lieu en Afrique du Sud ». Cette délégation lui a rapporté les différentes rencontres effectuées sur le territoire national malgache. La visite à la prison d’Antanimora lui a également été relatée. « Il faut prendre en compte des requêtes de cette assemblée, au bénéfice du pays » conseille-t-il. Et de conclure que « la délégation a confirmée que l’irrespect des droits humains est flagrant à Madagascar ».
Il faut savoir que la délégation de l’APP ACP-UE a demandé la libération des détenus politiques en occurrence les journalistes. Cela fait une semaine que la requête a été faite sans aucun résultat. Certes, des prisonniers ont récemment été relâchés, mais cette libération fait suite à la grâce offerte par Rajoelina lors de la fête nationale. « Ce n’est qu’une manœuvre dilatoire. Elle ne concerne en rien les prisonniers politiques » précise un leader politique.
En Ouganda
A partir du 25 Juillet prochain se tiendra à Kampala-Ouganda le sommet de l’union africaine. Ravalomanana a déjà reçu son carton d’invitation et est en train de préparer minutieusement les dossiers se rapportant au cas de Madagascar. « L’union africaine est soucieuse du cas de notre pays, ces membres aspirent à un rapide retour à l’ordre constitutionnel » annonce le président Ravalomanana « ils ne cessent de se concerter afin que le pays sorte de ce tunnel ».
Conférence nationale
Pour ce qui est de la conférence nationale, le chef de la mouvance Ravalomanana réitère les différentes déclarations émises par les trois mouvances. « Il faudrait la participation effective de tout un chacun. Toute opération doit refléter l’esprit d’unité nationale, donc inclusive et consensuelle »confirme-t-il. La communauté internationale ne donnera sa bénédiction qu’avec ces conditions, pourtant « ce genre de dialogue réclame un financement énorme » fait-il savoir. « Disposer de la reconnaissance internationale nous sera d’une grande aide car la crise socio-économique commence à peser ».
Aucun respect des droits humains
Et c’est le président lui-même qui le révèle « une rencontre avec la délégation de l’assemblée paritaire ACP-UE a eu lieu en Afrique du Sud ». Cette délégation lui a rapporté les différentes rencontres effectuées sur le territoire national malgache. La visite à la prison d’Antanimora lui a également été relatée. « Il faut prendre en compte des requêtes de cette assemblée, au bénéfice du pays » conseille-t-il. Et de conclure que « la délégation a confirmée que l’irrespect des droits humains est flagrant à Madagascar ».
Il faut savoir que la délégation de l’APP ACP-UE a demandé la libération des détenus politiques en occurrence les journalistes. Cela fait une semaine que la requête a été faite sans aucun résultat. Certes, des prisonniers ont récemment été relâchés, mais cette libération fait suite à la grâce offerte par Rajoelina lors de la fête nationale. « Ce n’est qu’une manœuvre dilatoire. Elle ne concerne en rien les prisonniers politiques » précise un leader politique.
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