jeudi 27 juin 2013

GIC-M : LA VOIE SOUHAITABLE POUR UNE RESOLUTION DE CRISE RAPIDE ET DURABLE


      GIC-M : LA VOIE SOUHAITABLE POUR UNE RESOLUTION DE CRISE RAPIDE ET DURABLE
Il est désormais clair que selon un invisible « principe de subsidiarité », dont on ne connaît nullement le contenu ni a fortiori la définition puisqu’il n’est écrit ni formellement acté nulle part entre les parties prenantes à la crise malgache, l’Union Africaine, personne mandante, et la SADC, personne mandataire, ont tacitement convenu de déléguer, tout aussi tacitement, au « Groupe International de Contact-Madagascar »  (GIC-M),  ce « machin »  , comme dirait le Général de Gaulle, le soin de décider, par ses orientations, du sort de Madagascar. Tout cela, de façon informelle et par conséquent opaque, sans doute hors de toute présence malgache et par-dessus la tête du peuple malgache, pourtant le seul concerné.
De façon subtile, la médiation internationale, conduite par une personnalité pourtant imposante de par son parcours personnel, est ainsi enterrée, en tout cas dans son format d’origine qui avait donné naissance à un processus de résolution de crise vicié à la base par sa trop grande complexité. Cette médiation a d’ailleurs sans cesse oscillée entre conciliation, facilitation, médiation et arbitrage, ponctionnant tour à tour dans chacun de ces modes de résolution de conflit des recettes qui, au final,  ne faisaient qu’ajouter à une inextricable confusion habilement entretenue et exploitée par certains acteurs politiques malgaches pour exister et se maintenir dans la course.     
C’est donc le 26 juin 2013 que, face à la complexité croissante de la grave crise institutionnelle et politique malgache, le GIC-M , qui regroupe les principaux partenaires bilatéraux et multilatéraux de Madagascar, donnera son verdict pour la solutionner ou y aider, ou tout au moins donnera le « la ». 
                                                             JUSQU’OU ALLER ?
De façon radicale et/ou définitive ? La question se pose en effet  dans les termes suivants:
-        d’abord , sur le plan global : assurément le « Groupe International de Contact-Madagascar » (GIC-M), instance de concertation internationale, avait été mis en place dès la fin de l’année 2009 eu égard à l’importance géopolitique et géostratégique de Madagascar, pièce maîtresse et centrale dans cette zone occidentale de l’Océan Indien et à la jointure des « Afriques » australe et orientale, actuels foyers et enjeux d’intérêts économiques, énergétiques, pétrolières et sécuritaires d’importance croissante, sur et autour d’ un continent dont la croissance économique est, de l’avis général, prometteuse ;
-        ensuite, sur le cas spécifique du blocage actuel du processus électoral malgache : compte tenu de la donne stratégique ci-dessus évoquée,  et eu égard à la forte volonté d’indépendance manifestée par les trois principaux candidats actuels à l’élection présidentielle malgache,  si l’un(e) ou l’autre d’entre eux parvient  à la magistrature suprême, le « risque » qu’il (elle) échappe au « contrôle » des principaux partenaires de Madagascar est, aux yeux d’une certaine communauté internationale, réel  et, au surplus, problématique;
-        et enfin, quant à la nature de la solution préconisée : quelle que soit l’apparence des intérêts parfois divergents des puissances et organisations impliquées (ni la Chine ni les Etats-Unis ne sont, à des nuances près, sur la même longueur d’onde que la France, et au sein de l’Union Européenne les vues du Royaume-Uni, de l’Allemagne ou de l’Italie se distinguent par une certaine vigilance, quant au Japon, il aimerait bien retrouver sa position économique d’antan…), et quelle que soit l’orientation consensuelle vers laquelle souhaitera vraisemblablement se diriger le GIC-M, il est à craindre que face à cette « volonté d’indépendance » nationale, au sein de ce groupe international de concertation un Metternich ou un Talleyrand des temps modernes , voire l’actuel héritier spirituel du grand ordonnateur d’une certaine conférence de Berlin de jadis sur le partage de l’Afrique, feront nul doute un grand usage de leurs talents diplomatiques pour amener cette assemblée internationale à adopter leurs vues et celles du pays ou groupe de pays qu’ils représentent. Or, ces vues tendront nécessairement vers une solution radicale qui consisterait sans nul doute à veiller à une sorte de partage ou de répartition ou encore de sauvegarde « équitables » des zones d’influence, secteurs ou centres d’intérêt de chacune des puissances et organisations concernées.  
 Par conséquent,  l’actuelle absence de maîtrise par les Malgaches eux-mêmes de la résolution de « leur » crise – chaque jour apportant malheureusement ses signaux désespérants à cet égard - rend plus que probable une telle issue, que d’aucuns estimeraient fatale à la démocratie et à la justice.
L’alternative hautement souhaitable consisterait donc précisément à un sursaut de démocratie et de justice de la part des acteurs publiques malgaches et de la population malgache, soutenus par l’opinion publique internationale, à moins qu’au sein même du GIC-M les consciences se manifestent enfin et que la voix de l’électeur malgache, qui revendique à juste titre la stricte prise en compte de ses droits inaliénables, serve seule de guide aux préconisations que la communauté internationale s’apprête à appliquer à un pays exsangue.
                                                            COMMENT Y ALLER ?
Pour cela, il convient absolument  de prendre des résolutions simples:
-         de commencer par fixer clairement l’objectif à atteindre : renouer le fil conducteur devant mener au retour à l’ordre constitutionnel. A cet égard, il faut revenir aux sources et redonner vie et donner du contenu à cette notion qui n’a été jusqu’à présent que proclamée comme une simple pétition de principe. Concrètement, comme d’ailleurs a fini par le souligner très justement tout récemment l’un des membres de l’équipe de médiation internationale – que nous préconisions maintes fois -, il convient de prendre comme un postulat que seule la constitution de la IIIème République, qui avait été violée par le coup d’Etat du 17 mars 2009, doit être considérée, et ce avec toutes les conséquences de droit et de fait ;
-        ensuite,  d’éviter d’amalgamer dans une même condamnation indistincte les trois principaux candidats, sans respect des principes juridiques élémentaires d’individualité des droits et de la condition statutaire personnelle, puisqu’il est acquis que : l’un est définitivement disqualifié, non seulement pour être sanctionné individuellement par les instances africaines en tant qu’auteur du coup d’Etat, mais qui au surplus a renié son engagement solennellement acté de ne pas se présenter à l’élection présidentielle, à cela s’ajoutant que sa candidature était frappée de forclusion ; l’autre est toujours sous condamnation judiciaire ; et enfin, la troisième jouit de tous ses droits civiques et aucune charge ni condamnation ne pèsent sur sa tête ;
-        en troisième lieu, de choisir clairement le mode de résolution à adopter : nouveau format de médiation ou arbitrage ?  Le saupoudrage évoqué plus haut  est à proscrire absolument. Mais, quel que soit le mode choisi, il faudra bien en appeler aux parties prenantes malgaches. Se pose donc la question de la représentativité de ces parties. Les quatre mouvances politiques y satisfont. La solution maintes fois envisagée d’un « sommet à quatre » devrait ainsi revenir au goût du jour et le faire tenir au plus vite une fois que les conditions ci-dessus listées seront remplies.    
                                                            POUR QUELLE DESTINATION ?
Ce n’est qu’en balisant ainsi la voie, que les contours du dossier Madagascar gagneront en clarté et que les débats eux-mêmes reprennent du sens et que le traitement de ce dossier soit pleinement maîtrisé. Ainsi également, on évitera le grave reproche qui consiste à  prêter à la médiation l’intention cachée de tenter d’écarter celle qui, de par sa popularité et au vu de sa profession de foi, est quasiment plébiscitée d’avance par une population assoiffée. Or, ce n’est certainement pas par référence à une législation fabriquée de toute pièce par un pouvoir illégal, d’ailleurs non reconnu par elle qu’une partie agissante de la communauté internationale peut « justifier », comme elle n’a malencontreusement pas hésité à le faire, sa ferme condamnation de la candidature de Madame Ravalomanana, puisque c’est d’elle qu’il s’agit. Et, en tout état de cause, en vertu de quel droit statutaire le GIC-M pourrait-il entrer en condamnation , plus que ne l’a déjà fait l’Union Africaine à l’encontre de l’un des principaux candidats actuels (comme elle en avait parfaitement le droit), ni même de le suggérer  ?
La voie souhaitable pour une résolution de la crise malgache peut s’ouvrir ainsi au GIC-M avec un résultat aussi rapide que durable.
Face aux craintes fondamentales actuelles et qui sont largement fondées, et en ce jour ô combien symbolique du 26 juin 2013, Fête nationale malgache, la 53èmedepuis l’Indépendance de Madagascar, on attend donc du GIC-M le meilleur et le seul des messages « intelligents », productifs et conformes aux principes partagés.  Tous les Malgaches y sont suspendus et l’attendent avec l’impatience que leur inspire le respect de la communauté des nations.  Faut-il d’ailleurs rappeler  ici que les Nations Unies sont particulièrement vigilantes sur ces principes, leur assemblée générale ayant très récemment, en ce mois d’avril 2013 du début de ce XXIème siècle, été dans la nécessité de préconiser leur application au bénéfice de certaines populations, ce au nom de la décolonisation, de l’auto-détermination des peuples et de leur souveraineté ?
Le GIC-M manquerait terriblement à ses devoirs et porterait une lourde responsabilité si d’aventure il devait caler ses préconisations et ses résolutions sur le cas de Madagascar hors des clous suggérés, sachant que de façon formelle et opérationnelle il ne pourra que retransmettre le relais aux instances idoines et compétentes de l’Union Africaine et de la SADC, afin que celles-ci, à leur tour et en temps opportun, permettent aux Malgaches d’exercer pleinement leur propre responsabilité.
                                                                                  Le 20 juin 2013
                                                             Rabesaina©

Il est désormais clair que selon un invisible « principe de subsidiarité », dont on ne connaît nullement le contenu ni a fortiori la définition puisqu’il n’est écrit ni formellement acté nulle part entre les parties prenantes à la crise malgache, l’Union Africaine, personne mandante, et la SADC, personne mandataire, ont tacitement convenu de déléguer, tout aussi tacitement, au « Groupe International de Contact-Madagascar »  (GIC-M),  ce « machin »  , comme dirait le Général de Gaulle, le soin de décider, par ses orientations, du sort de Madagascar. Tout cela, de façon informelle et par conséquent opaque, sans doute hors de toute présence malgache et par-dessus la tête du peuple malgache, pourtant le seul concerné.
De façon subtile, la médiation internationale, conduite par une personnalité pourtant imposante de par son parcours personnel, est ainsi enterrée, en tout cas dans son format d’origine qui avait donné naissance à un processus de résolution de crise vicié à la base par sa trop grande complexité. Cette médiation a d’ailleurs sans cesse oscillée entre conciliation, facilitation, médiation et arbitrage, ponctionnant tour à tour dans chacun de ces modes de résolution de conflit des recettes qui, au final,  ne faisaient qu’ajouter à une inextricable confusion habilement entretenue et exploitée par certains acteurs politiques malgaches pour exister et se maintenir dans la course.     
C’est donc le 26 juin 2013 que, face à la complexité croissante de la grave crise institutionnelle et politique malgache, le GIC-M , qui regroupe les principaux partenaires bilatéraux et multilatéraux de Madagascar, donnera son verdict pour la solutionner ou y aider, ou tout au moins donnera le « la ». 
                                                             JUSQU’OU ALLER ?
De façon radicale et/ou définitive ? La question se pose en effet  dans les termes suivants:
-        d’abord , sur le plan global : assurément le « Groupe International de Contact-Madagascar » (GIC-M), instance de concertation internationale, avait été mis en place dès la fin de l’année 2009 eu égard à l’importance géopolitique et géostratégique de Madagascar, pièce maîtresse et centrale dans cette zone occidentale de l’Océan Indien et à la jointure des « Afriques » australe et orientale, actuels foyers et enjeux d’intérêts économiques, énergétiques, pétrolières et sécuritaires d’importance croissante, sur et autour d’ un continent dont la croissance économique est, de l’avis général, prometteuse ;
-        ensuite, sur le cas spécifique du blocage actuel du processus électoral malgache : compte tenu de la donne stratégique ci-dessus évoquée,  et eu égard à la forte volonté d’indépendance manifestée par les trois principaux candidats actuels à l’élection présidentielle malgache,  si l’un(e) ou l’autre d’entre eux parvient  à la magistrature suprême, le « risque » qu’il (elle) échappe au « contrôle » des principaux partenaires de Madagascar est, aux yeux d’une certaine communauté internationale, réel  et, au surplus, problématique;
-        et enfin, quant à la nature de la solution préconisée : quelle que soit l’apparence des intérêts parfois divergents des puissances et organisations impliquées (ni la Chine ni les Etats-Unis ne sont, à des nuances près, sur la même longueur d’onde que la France, et au sein de l’Union Européenne les vues du Royaume-Uni, de l’Allemagne ou de l’Italie se distinguent par une certaine vigilance, quant au Japon, il aimerait bien retrouver sa position économique d’antan…), et quelle que soit l’orientation consensuelle vers laquelle souhaitera vraisemblablement se diriger le GIC-M, il est à craindre que face à cette « volonté d’indépendance » nationale, au sein de ce groupe international de concertation un Metternich ou un Talleyrand des temps modernes , voire l’actuel héritier spirituel du grand ordonnateur d’une certaine conférence de Berlin de jadis sur le partage de l’Afrique, feront nul doute un grand usage de leurs talents diplomatiques pour amener cette assemblée internationale à adopter leurs vues et celles du pays ou groupe de pays qu’ils représentent. Or, ces vues tendront nécessairement vers une solution radicale qui consisterait sans nul doute à veiller à une sorte de partage ou de répartition ou encore de sauvegarde « équitables » des zones d’influence, secteurs ou centres d’intérêt de chacune des puissances et organisations concernées.  
 Par conséquent,  l’actuelle absence de maîtrise par les Malgaches eux-mêmes de la résolution de « leur » crise – chaque jour apportant malheureusement ses signaux désespérants à cet égard - rend plus que probable une telle issue, que d’aucuns estimeraient fatale à la démocratie et à la justice.
L’alternative hautement souhaitable consisterait donc précisément à un sursaut de démocratie et de justice de la part des acteurs publiques malgaches et de la population malgache, soutenus par l’opinion publique internationale, à moins qu’au sein même du GIC-M les consciences se manifestent enfin et que la voix de l’électeur malgache, qui revendique à juste titre la stricte prise en compte de ses droits inaliénables, serve seule de guide aux préconisations que la communauté internationale s’apprête à appliquer à un pays exsangue.
                                                            COMMENT Y ALLER ?
Pour cela, il convient absolument  de prendre des résolutions simples:
-         de commencer par fixer clairement l’objectif à atteindre : renouer le fil conducteur devant mener au retour à l’ordre constitutionnel. A cet égard, il faut revenir aux sources et redonner vie et donner du contenu à cette notion qui n’a été jusqu’à présent que proclamée comme une simple pétition de principe. Concrètement, comme d’ailleurs a fini par le souligner très justement tout récemment l’un des membres de l’équipe de médiation internationale – que nous préconisions maintes fois -, il convient de prendre comme un postulat que seule la constitution de la IIIème République, qui avait été violée par le coup d’Etat du 17 mars 2009, doit être considérée, et ce avec toutes les conséquences de droit et de fait ;
-        ensuite,  d’éviter d’amalgamer dans une même condamnation indistincte les trois principaux candidats, sans respect des principes juridiques élémentaires d’individualité des droits et de la condition statutaire personnelle, puisqu’il est acquis que : l’un est définitivement disqualifié, non seulement pour être sanctionné individuellement par les instances africaines en tant qu’auteur du coup d’Etat, mais qui au surplus a renié son engagement solennellement acté de ne pas se présenter à l’élection présidentielle, à cela s’ajoutant que sa candidature était frappée de forclusion ; l’autre est toujours sous condamnation judiciaire ; et enfin, la troisième jouit de tous ses droits civiques et aucune charge ni condamnation ne pèsent sur sa tête ;
-        en troisième lieu, de choisir clairement le mode de résolution à adopter : nouveau format de médiation ou arbitrage ?  Le saupoudrage évoqué plus haut  est à proscrire absolument. Mais, quel que soit le mode choisi, il faudra bien en appeler aux parties prenantes malgaches. Se pose donc la question de la représentativité de ces parties. Les quatre mouvances politiques y satisfont. La solution maintes fois envisagée d’un « sommet à quatre » devrait ainsi revenir au goût du jour et le faire tenir au plus vite une fois que les conditions ci-dessus listées seront remplies.    
                                                            POUR QUELLE DESTINATION ?
Ce n’est qu’en balisant ainsi la voie, que les contours du dossier Madagascar gagneront en clarté et que les débats eux-mêmes reprennent du sens et que le traitement de ce dossier soit pleinement maîtrisé. Ainsi également, on évitera le grave reproche qui consiste à  prêter à la médiation l’intention cachée de tenter d’écarter celle qui, de par sa popularité et au vu de sa profession de foi, est quasiment plébiscitée d’avance par une population assoiffée. Or, ce n’est certainement pas par référence à une législation fabriquée de toute pièce par un pouvoir illégal, d’ailleurs non reconnu par elle qu’une partie agissante de la communauté internationale peut « justifier », comme elle n’a malencontreusement pas hésité à le faire, sa ferme condamnation de la candidature de Madame Ravalomanana, puisque c’est d’elle qu’il s’agit. Et, en tout état de cause, en vertu de quel droit statutaire le GIC-M pourrait-il entrer en condamnation , plus que ne l’a déjà fait l’Union Africaine à l’encontre de l’un des principaux candidats actuels (comme elle en avait parfaitement le droit), ni même de le suggérer  ?
La voie souhaitable pour une résolution de la crise malgache peut s’ouvrir ainsi au GIC-M avec un résultat aussi rapide que durable.
Face aux craintes fondamentales actuelles et qui sont largement fondées, et en ce jour ô combien symbolique du 26 juin 2013, Fête nationale malgache, la 53èmedepuis l’Indépendance de Madagascar, on attend donc du GIC-M le meilleur et le seul des messages « intelligents », productifs et conformes aux principes partagés.  Tous les Malgaches y sont suspendus et l’attendent avec l’impatience que leur inspire le respect de la communauté des nations.  Faut-il d’ailleurs rappeler  ici que les Nations Unies sont particulièrement vigilantes sur ces principes, leur assemblée générale ayant très récemment, en ce mois d’avril 2013 du début de ce XXIème siècle, été dans la nécessité de préconiser leur application au bénéfice de certaines populations, ce au nom de la décolonisation, de l’auto-détermination des peuples et de leur souveraineté ?
Le GIC-M manquerait terriblement à ses devoirs et porterait une lourde responsabilité si d’aventure il devait caler ses préconisations et ses résolutions sur le cas de Madagascar hors des clous suggérés, sachant que de façon formelle et opérationnelle il ne pourra que retransmettre le relais aux instances idoines et compétentes de l’Union Africaine et de la SADC, afin que celles-ci, à leur tour et en temps opportun, permettent aux Malgaches d’exercer pleinement leur propre responsabilité.
                                                                                  Le 20 juin 2013
                                                             Rabesaina©

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire


Le GTT INTERNATIONAL, collectif de la diaspora malagasy, dont le siège est à Genève (CH), poursuit un double objectif: la restauration de l'Etat de droit et le rétablissement de la Démocratie à Madagascar. Il prône et oeuvre pour la liberté d'expression, la prise de conscience citoyenne et la mise en place d'une vraie démocratie dont l'exigence première est la tenue d'un processus électoral inclusif, libre et transparent ".