Devant le tollé suscité par les importantes sommes décaissées illicitement des caisses de la CENI-T, Madame la ministre a du admettre publiquement qu'elle a bien réalisé le décaissement tout en niant le caractère illicite de ce dernier.
Elle peut crier urbi et orbi de la légalité de ce prélèvement de fonds mais, son passé en tant que patronne de la CENI-T, caution de toutes les magouilles électorales ayant permis à l'élection de Rajaonarimampianina ne plaide point en sa faveur.
Sous d'autres cieux, elle devrait démissionner ou être destituée mais n'est-on pas sous un régime infesté de pilleurs, de magouilleurs et de trafiquants ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire